C’est donc ici que la énième mort de l’amour m’a faite échouer, ici que mon envie d’absolu m’a finalement emmenée. A la halte des pèlerins, je me suis réfugiée, sous le coquillage saint. La Recevresse m’a ouvert ses bras, à moi comme à l’autre en moi, à nous qui marchions sans plus rien savoir, sans plus rien voir. Nous sommes arrivés là. Ensemble. Mais séparés.