Sur un papier, avec un bout de bois calciné, j’écris un nom. Le nom de la maison d’avant, la maison au balcon, d’où je me suis enfuie. Je plie le papier. Je l’embrasse et je le jette au feu. Je le regarde se consumer. Puis disparaître dans les cendres incandescentes. Elle aussi est morte maintenant. La maison a brûlé en moi. On est quite.