l'empereur

Plus qu’assis, l’empereur est négligemment appuyé sur ses arrières, les jambes croisées. Ses fesses reposent toujours sur le blason, tout comme l’un de ses pieds, sur ce socle de culture, de connaissances théoriques qui lui permettent de monnayer ses talents et d’asseoir ses pouvoirs. Le sceptre qu’il brandit comme un flambeau, une victoire, montre sa force érectile, sorte d’intelligence virile, qui se manifeste aussi dans une posture de nonchalance face aux événements présents. L’empereur détourne son regard. Son détachement, son insolence, tous ses apparats et ses artifices n’y changeront rien. L’ennui n’aime que les paresseux. S’il veut s’élever, il lui faudra se dépouiller de ses trophées, et alléger le poids de son égo. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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