12.
Il y a des moments où il ne sert à rien de faire, de s’agiter ou de bouger. Le plus judicieux étant encore d’attendre, de suspendre tout son être à un fil, et de regarder, la tête à l’envers, le monde changer, venir tout seul à soi, sans qu’on n’y soit pour rien. La suspension est le don des bienheureux.