Ma carcasse sabotée trimballe encore sur son dos le poids mort de l’âme blessée. J’ai tellement voulu la dépouiller, mais il n’y a rien à couper décidément qui n’ait déjà été dépecé. Tout juste un nœud ombilical imaginaire encore à défaire. Avant de s’en remettre à la tourbe des ornières.